Schneider : La messe tridentine est un obstacle à la sécularisation du Vatican
L'évêque Athanasius Schneider est en désaccord avec l'accusation de François selon laquelle les catholiques de rite romain sont "diviseurs" ou "luttent contre Vatican II".
C'est "un prétexte évident" car derrière Traditionis Custodes se cache "un autre agenda", le rejet de la Tradition et la promotion du sécularisme, a-t-il déclaré à EWTN (7 octobre).
Schneider qualifie la surnaturalité de la messe tridentine d'"obstacle" à l'agenda mondain de François, "malheureusement promu par le Saint-Siège".
Le rite tridentin et le Novus Ordo "radicalement modifié" ne sont pas seulement deux formes coexistantes - comme l'a dit Benoît XVI - mais deux rites tout à fait différents, a observé Schneider. Par conséquent, le Novus Ordo "doit revenir à l'essence du rite traditionnel de tous les temps".
En ce qui concerne les violences homosexuelles, Schneider a déclaré que le mal doit être reconnu mais que l'Eglise ne doit pas se laisser intimider par le monde : "Quand l'Eglise capitule devant le monde, elle s'affaiblit toujours", ajoutant : "Nous devons être confiants et avoir la conviction que la vérité demeure".
À propos des chemins synodaux, M. Schneider a déclaré qu'un style parlementaire est étranger à la tradition de l'Église : "Nous n'avons pas à établir la vérité puisque nous l'avons déjà reçue des apôtres, de l'Église."
#newsEgeynthvpg
C'est "un prétexte évident" car derrière Traditionis Custodes se cache "un autre agenda", le rejet de la Tradition et la promotion du sécularisme, a-t-il déclaré à EWTN (7 octobre).
Schneider qualifie la surnaturalité de la messe tridentine d'"obstacle" à l'agenda mondain de François, "malheureusement promu par le Saint-Siège".
Le rite tridentin et le Novus Ordo "radicalement modifié" ne sont pas seulement deux formes coexistantes - comme l'a dit Benoît XVI - mais deux rites tout à fait différents, a observé Schneider. Par conséquent, le Novus Ordo "doit revenir à l'essence du rite traditionnel de tous les temps".
En ce qui concerne les violences homosexuelles, Schneider a déclaré que le mal doit être reconnu mais que l'Eglise ne doit pas se laisser intimider par le monde : "Quand l'Eglise capitule devant le monde, elle s'affaiblit toujours", ajoutant : "Nous devons être confiants et avoir la conviction que la vérité demeure".
À propos des chemins synodaux, M. Schneider a déclaré qu'un style parlementaire est étranger à la tradition de l'Église : "Nous n'avons pas à établir la vérité puisque nous l'avons déjà reçue des apôtres, de l'Église."
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