Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid

13/03/2024 (2024-03-13)

[Source: conservativewoman.co.uk]

Par le Dr Mike Yeadon — 22 mars 2023

Le Dr Mike Yeadon est titulaire d’un diplôme en biochimie et toxicologie et d’un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il a passé plus de 30 ans à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde, il a quitté Pfizer en 2011 en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il s’agissait du poste de recherche le plus élevé dans ce domaine au sein de Pfizer. Depuis qu’il a quitté Pfizer, le Dr Yeadon a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue en 2017 à Novartis, la plus grande société pharmaceutique du monde.

Je suis de plus en plus frustré par la façon dont le débat est contrôlé autour de la question des origines du prétendu nouveau virus, le SRAS-CoV-2, et j’en suis venu à ne plus croire qu’il ait jamais été en circulation et qu’il ait causé des maladies et des décès à grande échelle. Il est inquiétant de constater que presque personne n’envisage cette possibilité, bien que la biologie moléculaire soit la discipline dans laquelle il est le plus facile de tricher. En effet, il n’est pas possible de le faire sans ordinateur, et le séquençage nécessite des algorithmes complexes et, surtout, des hypothèses. En modifiant les algorithmes et les hypothèses, il est possible de modifier considérablement les conclusions.

Cela soulève la question de savoir pourquoi on accorde une telle importance à la tempête médiatique autour de Fauci, de Wuhan et d’une éventuelle évasion du laboratoire. Après tout, les « coupables » exercent un contrôle important sur les médias. Il n’y a pas de journalisme indépendant à l’heure actuelle. Ce n’est pas comme s’ils avaient besoin d’embarrasser l’establishment. Je fais remarquer aux lecteurs qu’ils ont choisi de le faire.

De qui s’agit-il quand je dis « ils » et « les auteurs » ? Il y a un certain nombre de candidats en lice pour ce poste, avec leurs complices des laboratoires pharmaceutiques, dont plusieurs sont nommés dans l’excellente série en cinq parties de Paula Jardine pour TCW, Anatomie du sinistre projet Covid. En haut de la liste, on trouve le Forum Économique Mondial et ses nombreux acolytes politiques, parmi lesquels Justin Trudeau et Jacinda Ardern.

Mais cela ne répond pas à la question de savoir pourquoi ils se concentrent sur la genèse du virus. À mon avis, ils font tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer que vous considérez cet événement exactement comme ils le souhaitent. Plus précisément, qu’il y a eu un nouveau virus.

Je ne suis pas le seul à l’avoir cru au début de la « pandémie », mais au fil du temps, j’ai vu suffisamment de preuves pour mettre cette idée en doute. En outre, dans le cadre d’un coup d’État mondial, je me suis mis à la place des auteurs les plus hauts placés et les plus cachés. Lors d’une séance de questions-réponses, ils apprendraient que l’effet d’un nouvel agent pathogène mis sur le marché ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel qu’ils ne l’avaient prévu et détruire des civilisations avancées. Ces décideurs de haut niveau concluraient, à mon avis, que ce risque naturel leur est intolérable. Ils aspirent à un contrôle total, et le large éventail de résultats possibles d’une dissémination délibérée milite contre ce plan d’action : « Non, nous n’allons pas faire cela. Revenez avec un plan où l’incertitude sur les résultats est très réduite ».

Je pense qu’ils ont choisi d’ajouter un mensonge supplémentaire à l’énorme pile de mensonges qui a entouré toute cette affaire. Ce mensonge consiste à dire qu’il y a déjà eu en circulation un nouveau virus respiratoire qui, de manière cruciale, a provoqué des maladies et des décès à grande échelle. En fait, ce n’est pas le cas.

Au lieu de cela, on nous a dit qu’il y avait un nouvel agent pathogène effrayant et on a fait monter le porno de la peur jusqu’à l’échelle 11, et on l’a maintenu à ce niveau. Cela va de pair avec les tricheries sur les séquences génétiques, les protocoles de test PCR (sondes, amorces, conditions d’amplification et de recuit, cycles), ignorant le matériel génétique contaminant provenant non seulement de prétendues sources virales humaines, mais aussi les sources bactériennes et fongiques. Pourquoi, par exemple, ont-ils dû insérer les bâtonnets de prélèvement directement dans nos sinus ? Était-ce pour maximiser les séquences génétiques non humaines ? (NdT : Le recuit est le processus d’assemblage de l’ADN ou de l’ARN simple brin par des liaisons hydrogène pour former un polynucléotide double brin).

Il est évident que nos dirigeants politiques et culturels, y compris la défunte reine, étaient heureux de se rencontrer et de se saluer sans se tester, sans se masquer et sans prendre de distance sociale. Ils n’avaient pas peur. Dans le scénario ci-dessus, quelques personnes auraient su qu’il n’y avait pas de nouveau danger dans leur environnement. S’il y avait vraiment un agent pathogène mortel dans le pays, je ne crois pas qu’ils auraient eu le courage ou le besoin d’agir avec nonchalance et de risquer d’être exposés au virus.

Ce qui me convainc le plus, ce sont les données américaines sur la mortalité toutes causes confondues (NdT : en anglais ACM pour All Cause Mortality) par État, sexe, âge et date d’apparition, telles qu’elles ont été analysées par Denis Rancourt et ses collègues. La tendance à l’augmentation de l’ACM n’est pas compatible avec la présence d’un nouveau virus respiratoire comme cause principale.

Si j’ai raison de dire qu’il n’y a pas eu de nouveau virus, quelle idée de génie que de prétendre qu’il y en a eu un ! Maintenant, ils veulent seulement que vous vous demandiez comment ce « virus tueur » s’est retrouvé dans la population humaine. S’agit-il d’une émergence naturelle (une chauve-souris sauvage a mordu un pangolin qui a fini par être vendu sur un marché de poissons de Wuhan) ou d’une création prétentieuse d’un chercheur chinois, aidé en cours de route par un chercheur de l’université de Caroline du Nord financé par Fauci, qui ont ainsi contourné une pause présidentielle sur ce type de travaux ? La question se pose ensuite de savoir si l’arrivée du virus dans le grand public est due à une négligence et à une fuite de laboratoire, ou si quelqu’un l’a délibérément propagé ?

Je dois également souligner que les auteurs de ces actes contrôlent hermétiquement les médias de masse par le biais d’une mainmise des grandes entreprises technologiques et du gouvernement, documentée en partie ici, ici et ici. C’est pourquoi ils ont trouvé si facile de censurer des gens comme moi. Si une histoire apparaît sur plusieurs réseaux de télévision, c’est qu’ils sont d’accord avec elle ou qu’elle a été activement mise en place. Elle ne sera pas authentique. Ils ne disent jamais la vérité. Je ne pense pas qu’ils aient dit la vérité depuis le début de ce coup d’État, et probablement bien avant. La plupart des soi-disant journalistes ont perdu de vue ce qu’était la vérité.

Je pense que les auteurs (qui pourraient être tout ou partie de Gates, Fauci, Farrar, Vallance, CEPI, EcoHealth Alliance, DARPA et de nombreux autres) ont semé la controverse sur les origines du SRAS-CoV-2 parce qu’un peu d’embarras pour l’establishment était un petit prix à payer pour persuader la plupart d’entre nous qu’il devait certainement y avoir un nouveau virus alors qu’il n’y en a pas. (Et ils s’en sont tirés jusqu’à présent).

Certains de mes collègues ne croient pas que ce que l’on nous a dit (à savoir qu’un virus a été construit expérimentalement) soit même possible sur le plan technologique. Je n’ai pas les connaissances nécessaires pour évaluer cette idée. Mais pour moi, le reste tient la route d’une manière qu’aucune autre explication ne permet.

À cet égard, une ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique, Sasha Latypova, s’adressant à Robert F Kennedy Jr dans son podcast du jeudi 16 mars dernier, décrit les nombreuses preuves des contrats et des relations qui étaient en place avant l’ère Covid. Des contrats ont été signés pour des milliards de dollars en février 2020. Non seulement la production requise n’aurait jamais lieu (il est ridicule de signer un engagement d’une telle ampleur), mais elle ne peut pas être réalisée. Elle a estimé qu’il fallait environ un kilogramme d’ADN. Il n’y a pas autant d’ADN de qualité médicale sur la planète à un moment donné. Cela s’explique par le fait qu’il est difficile à fabriquer, très coûteux, entièrement sur mesure et difficile à stocker pendant de longues périodes. En outre, les quantités d’une séquence d’ADN spécifique requises et stockées par les fournisseurs commerciaux sont de l’ordre du milligramme, voire du gramme. Il a donc toujours été impossible, quelle que soit la somme d’argent dépensée, d’accomplir ce qu’ils prétendent avoir fait en peu de temps.

Par conséquent, les faits ne permettent pas d’autre conclusion que celle d’un crime de grande ampleur, largement planifié. En soi, cela exclut l’émergence naturelle d’un agent pathogène, à moins d’une providence divine. Logiquement, il ne reste plus qu’une fuite ou, comme je l’affirme, un mensonge et une opération psychologique. La première hypothèse est possible ou non, mais ce qui n’est pas contestable, c’est qu’une telle opération pourrait être réalisée, et se déroulerait probablement sans problème, avec un véritable agent pathogène. Si un agent pathogène est libéré, on peut s’attendre à presque tous les résultats, sauf celui que l’on souhaite vraisemblablement. Je ne peux arriver à aucune autre conclusion que celle d’un faux.

Pour conclure, je ne dis pas que les gens n’étaient pas malades ou qu’ils ne mouraient pas en grand nombre. Je ne discute que des causes des maladies et des décès. Les gens ont été rendus malades et certains ont été tués par toutes les causes préexistantes, amplifiées par la peur, ce qui a entraîné une immunosuppression et une série d’actions révoltantes. Notez même le chevauchement officiel des signes et symptômes de la « Covid-19 » et des maladies existantes. Ils ont notamment réduit de 50 % les prescriptions d’antibiotiques aux États-Unis en 2020. Ils ont veillé à ce qu’un grand nombre de personnes âgées fragiles soient ventilées mécaniquement (NdT : l’intubation qui est tellement douloureuse qu’il faut anesthésier les personnes — l’État de New York en avait commandé 20 000 à General Motors pour n’en utiliser que quelques-uns, car ils se sont rendu compte qu’ils tuaient les gens), une procédure qui, chez ces sujets, est presque contre-indiquée. Certaines se sont vu administrer du remdésivir, un poison pour les reins. Dans les maisons de soins, elles ont reçu du midazolam et de la morphine, des dépresseurs respiratoires dont l’association est quasiment contre-indiquée chez les patients souffrant de difficultés respiratoires. S’ils sont utilisés, ils doivent faire l’objet d’une surveillance étroite, le plus souvent au moyen de systèmes d’alarme automatisés reliés à une surveillance cardiorespiratoire vitale, y compris une surveillance des gaz sanguins au bout du doigt. Cela ne s’est pas produit dans les maisons de soins.

Je pense que la principale raison des mensonges sur le nouveau virus est un désir de prévisibilité et de contrôle total, avec l’intention clairement exprimée de transformer la société, en commençant par démanteler le système financier par des fermetures et des congés, tandis que l’objectif pratique immédiat de la fermeture était de fournir le casus belli pour injecter au plus grand nombre de personnes possible des substances conçues non pas pour induire une immunité, mais pour exiger une inoculation répétée, pour causer des blessures et la mort, et pour contrôler la liberté de mouvement. Je suis sûr qu’ils sont satisfaits d’avoir injecté au moins 6 000 000 000 de personnes.

Notez que, bien que l’on estime que 10 à 15 millions de personnes ont été tuées par des « vaccins » toxiques, il ne s’agit là que de la première des nombreuses injections d’ARNm à venir. Tout porte à croire que les moyens de vous forcer à en accepter dix autres ont été anticipés, car c’est le nombre de doses que votre gouvernement a accepté d’acheter. Acheter quoi ? Eh bien, il a déjà été question que tous les vaccins existants soient reformatés sous forme d’ARNm. Si c’est le cas, je ne pense pas qu’une personne à qui l’on aura injecté dix doses supplémentaires échappera à la mort ou à des maladies graves limitant l’espérance de vie. Inciter votre corps à fabriquer des protéines qui ne sont pas les siennes induira axiomatiquement une attaque auto-immune de la part de votre propre corps. Votre maladie sera liée à la destination de la dose injectée et, bien sûr, à la consistance du produit injecté. Jusqu’à présent, ils ont été terriblement irréguliers. Il n’est pas certain qu’ils auraient pu être fabriqués et lancés s’ils avaient été soumis aux exigences de qualité habituelles et s’ils n’avaient pas bénéficié d’autorisations « d’utilisation d’urgence ». Bien sûr, comme nous le savons maintenant, les régulateurs (NdT : les autorités de régulation du genre FDA ou CDC) ont joué un rôle important en plus de mentir à l’armée américaine, l’organisation qui a passé les premières commandes de « vaccins » et qui a fixé toutes les conditions contractuelles pour des sociétés telles que Moderna et Pfizer.

[Note de Joseph : s’il n’y a pas assez d’ADN médical sur la planète pour les contrats vaccinaux, pourquoi y aurait-il suffisamment d’ARNm pour produire des milliards de doses de vaccins ?
Plusieurs équipes de recherche indépendantes n’ont pas trouvé de traces organiques dans les vaccins (contrairement à celles qui prétendent que des doses étaient infectées par de l’ADN animal), mais ont trouvé de la nanotechnologie à base de graphène. L’idée de l’ARNm et de la supposée protéine Spike relève visiblement de la même arnaque globale, un écran de fumée de plus pour cacher le véritable contenu (le graphène) et la réelle finalité des vaccins anticovid et les nouvelles versions graphénisées des anciens vaccins (le transhumanisme). Voir notamment Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?]

Les poulets rentrent à la maison pour se percher maintenant dans le système bancaire.

Comme je le dis toujours, je n’ai pas beaucoup de certitudes. Je n’ai pas de copie du scénario de ce qui est le plus grand crime de l’histoire. Mais, quelle que soit la nature du Covid, je ne crois pas que ce que l’on appelait la grippe ait disparu comme par hasard au début de l’année 2020. C’est un autre mensonge. C’est ce qu’ils font. C’est tout ce qu’ils font.

À ceux qui sentent que tout ne va pas bien, mais qui ne veulent pas faire le saut psychologique vers le monde diabolique dans lequel je pense que nous vivons actuellement, je signale l’asymétrie des risques. Si vous suivez le récit officiel et que j’ai raison, vous et vos enfants perdrez toutes vos libertés et probablement vos vies. Si vous croyez ce que je dis et que j’ai tort, on se moquera de vous. Ces options sont loin d’être équilibrées. Un acteur rationnel devrait cesser de croire ce qu’on lui dit. Ce n’est pas une position sûre que de garder votre conseiller et de baisser la tête. C’est la chose la plus dangereuse que vous puissiez faire.

Traduction Jean Bitterlin, 13 mars 2024

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